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Anzünde. "Mettez le feu" est le récit de cette période de terreur prussienne, d'octobre 1870 à juin 1871 dans le Vexin normand, puis dans les boucles de Seine, de Vernon à Moulineaux.
Des bandes de francs-tireurs associées aux pires criminels locaux, délinquants d'une sauvagerie inouïe, ajoutent l'horreur aux feux de cet enfer.
Ce récit retrace avec précision les déplacements, et, les exactions des occupants sur la population locale.

RECUEILLIR, RÉDIGER ET PUBLIER L`HISTOIRE SOCIALE EST UN ENJEU DE CLASSE. C`EST UN COMBAT SYNDICAL. EN HAUTE-NORMANDIE,CEUX QUI NE PARLENT JAMAIS D`EUX-MÊMES ONT, A TRAVERS CE LIVRE, LA PAROLE. AU LIVRE EST JOINT UN CD AUDIO QUI REPREND LES PAROLES DES MILITANTS INTERROGES

27 ! Ouvrage collectif sous la direction de Ludivine Ponte et Thomas Roche. Fruit du travail collectif de l'équipe des Archives départementales, l'ouvrage n'est ni une nouvelle histoire de l'Eure, ni un guide touristique, ni un dictionnaire des personnalités euroises, ni un recueil d'anecdotes, ni un florilège des richesses des fonds d'archives - même s'il leur emprunte modestement certains traits. à partir d'une contrainte que n'aurait pas reniée l'Oulipo, celle du nombre 27, l'ouvrage propose une promenade dans l'histoire du département, à travers l'évocation de 27 personnalités, 27 lieux et 27 événements qui ont pu «faire l'Eure», d'une manière ou d'une autre. Bien souvent il s'agit aussi de cas intéressants de « jeux de mémoire », entre l'oubli de certains, l'idéalisation d'autres, la vivacité des souvenirs que ceux-ci éveilleront, ou la transformation au fil des siècles de ceux-là. Ce cadre des 27 a imposé des choix arbitraires, mais pas insensés, fruits de la recherche d'un équilibre entre des éléments incontournables de l'identité historique, ancienne ou plus récente, du territoire correspondant aujourd'hui au département de l'Eure, de Château-Gaillard à l'impressionnisme, mais aussi des figures, des lieux ou des événements, souvent à la croisée des chemins entre petites histoires et grande Histoire. sous la direction de Ludivine Ponte et Thomas Roche

Embarquez pour une balade photographique en Normandie, du Mont-Saint-Michel au Tréport, à travers le regard de Christophe Chatillon et la plume de Fred Coconut. Des ambiances singulières, visuelles ou écrites, un autre point de vue, original, parfois poétique, conjonction de talents qui vous feront voyager.

En 911 à Saint-Clair-sur-Epte, un chef viking concluait un traité avec Charles le Simple, roi des Francs. La Normandie était née !
A l'occasion de ce onzième centenaire et pour raconter l'histoire exceptionnelle de ce viking, ^Rollon, une équipe interdisciplinaire a réuni ses talents pour réaliser une "tapisserie" à la manière de la célèbre Tapisserie de Bayeux (donc, en fait, une broderie).

Les églises de l'Eure constituent un patrimoine tout à fait remarquable, fort de plusieurs centaines d'éléments, allant des périodes les plus anciennes du haut Moyen dge jusqu'aux plus récentes de l'après Seconde Guerre mondiale. Mais, comme pour beaucoup de choses que l'on a trop l'habitude de voir sans véritablement les regarder, les églises méritent que l'on s'y attarde. Témoins du passage du temps et de l'évolution de la société, ces édifices cultuels ont abrité tous les moments de la vie des habitants de nos cités, de la naissance à la mort, de la joie à la peine. Pour accompagner ces instants, les églises ont été édifiées selon certains principes d'orientation et de composition qu'il est intéressant de rappeler. Les décors, statues, peintures, sculptures ou mobiliers ont aussi été créés pour magnifier la présence du divin. Plus de mille ans d'histoire sont ainsi visibles sur les territoires eurois. Mais les périodes anciennes ne sont pas les seules richesses qu'il convient d'admirer car les églises de l'Eure sont encore et toujours sources de projets et d'animation à l'heure actuelle. Elles doivent également résister au temps qui passe. Nous verrons les principaux risques qui guettent ces vieux édifices en terme de manque d'entretien ou de travaux. Les pathologies les plus courantes peuvent œtre facilement identifiées et résolues. Nous nous interrogerons aussi sur l'avenir de ces édifices qui est, très souvent, réduit à des réflexions trop simples quant à la fréquentation cultuelle qui en est faite au cours de l'année ou à leur image d'dme des villages français. Les territoires de demain ne sont pas ceux d'aujourd'hui ; pour autant, les fondements socioculturels qui les ont engendrés sont toujours présents, comme des courants sous-jacents qu'il faut prendre en compte pour mieux préparer l'avenir.